Le résultat du premier tour de l’élection présidentielle est porteur de bonnes nouvelles. La première, après le traumatisme de 2002 : Ségolène Royal est en mesure de concrétiser l’espoir de millions de Français et de rassembler une majorité du pays. Si la victoire n’est pas acquise, elle est aujourd'hui possible. Son score au premier tour marque une aspiration pour un véritable changement. Elle arrive même en tête à Besançon.
L’autre bonne nouvelle tient dans la participation, en très large hausse. Il n’y avait donc pas de fatalité dans la désaffection croissante pour l’intérêt commun et la chose publique.
Ce nouveau panorama est la marque d’une dynamique qu’il convient d’amplifier en proposant un large rassemblement de tous ceux qui ont voulu, au-delà du candidat de leur choix, donner au changement nécessaire à ce pays toute sa place dans cette élection.